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L’AOC en force à Toulouse

L’équipe départementale des pompiers de Saône et Loire participait le 4 et 5 juillet aux championnats de France, qui se déroulait, si vous avez suivi depuis le début à… ? à… ?

A Toulouse, gagné ! Terre de rugby, de la saucisse, de l’A380, et bien entendu de la fameuse bouillabaisse de Toulouse ; à moins qu’il ne s’agisse du couscous de Blagnac ??!

Bien entendu, on n’en parlerait pas si des aocistes n’avaient pas brillamment défendu les couleurs de notre cher département. Cette équipe, chère à notre KIKI national s’est donc remarquablement illustrée en obtenant une superbe 3^ème place.

Si j’utilise beaucoup de superlatifs, c’est parce que comme Loréal, nous le valons bien !

En effet, après un premier tour réalisé avec brio (encore un) où nous avons  battu,

1. La Charente par un départ tonitruant et par un jeu très abouti
2. L’Ain dans le principe du derby où l’enjeu tue le jeu
3. La Seine et Marne en les prenant à la gorge férocement du début à la fin

la fière équipe se retrouve donc le samedi matin afin d’affronter l’équipe du Gard. Equipe solide, composée de quelques joueurs de Nîmes (dans le 69) et d’Aix en Provence notamment, elle se voit exploser et étouffer littéralement par notre début de match très agressif ammoniacal.

Mais tout ça, c’était avant le drame !

En effet, un joueur du Tarn et Garonne s’étant malheureusement luxé l’épaule sur le terrain d’à coté, un de nos joueurs déçu de ne pas faire la une de la journée décidait de manière très égoïste de s’exploser une jambe dans le seul but d’attirer l’attention.

Ce triste sir,  d’ailleurs très controversé au sein de sa propre bande d’amis (ou plutôt de connaissances) monopolisait le temps de jeu et ne faisait que repousser l’heure de la première bière. Les joueurs assoiffés et en manque durent se sortir les doigts du c.. afin de se qualifier pour la demi finale, et ce pour la première fois !

Très énervés par cet acte isolé, déboussolés par la fermeture de la buvette, sans compter Olive qui n’avait pas pu faire caca le matin, les joueurs laissèrent filer le match à leurs adversaires des Landes. Bon, euh, y z’étaient un peu plus fort que nous quand même, et pi y sont champions  de France quand même, hein ? Et pi y a des joueurs de pro D2 en face, enfin 1 (mais le plus fort !)

Nos fiers aocistes purent alors se concentrer sur l’unique chose qui restait à faire de leur long périple toulousain ; à savoir, partager une fois de plus un grand moment de fête dans la plus pure tradition du rugby et de ses valeurs que nous partageons au sein de notre assoss (soss à acheter d’ailleurs 27 euros les 3 kilos auprès de nos aocistes en partance pour les jeux mondiaux de Livermoule).

Je finirais en citant le nom de ces joueurs puisque 8 d’entre eux sont membres actifs (joueurs, coachs, membres du bureau) :

Kiki, alias « le grand manitou », l’aboyeur et chien de berger

 le gros Gégé, alias « le gros Gégé » ou bien encore gros, ou Gégé

Nunus, alias « le  nouveau Chabal du sud de l’Europe»

Olive, le spécialiste des combines et placements en touche

Romu, dit « le pitaine » ou l’assistante sociale

Bruno dit « la liane » mais pas pour la longueur de son sexe

Seb, alias l’impact player de chic et de charme ( et je suis pas PD)

Steph alias « jambe de laine » ou pied de cochon

Tous fiers d’avoir porté les couleurs du département, nous vous disons au 8 septembre pour la reprise officielle de l’entraînement.

Steph

PS: un dernier aociste était lui aussi bel et bien présent à Toulouse. Il s'agit du félon, de l'ignoble,  du putride agent secret de l'équipe du 69 prés de Marseille. Vous l'avez tous reconnu bien sur, je l'avais oublié et je m'en excuse; il s'agit bel et bien de notre bon vieux BABAS NATIONAL.
Un peu perdu car il est de multiple nationalité, d'origine 71, logeant dans ce département limitrophe des pays de l'est ( le Bressizkthan) et participant au tournoi sous le drapeau du Rhone, Babas aprés 4 bonnes séances de plaquage la veille, n'a pas manqué de finir la soirée avec nous.
 

L'équipe et leurs fans

Le Club de Supporters

Rencontre avec Byron Kelleher demi de mêlée du Stade Toulousain et des All Blacks